Rentrée des classes
Il y a ceux qui, la larme à l’œil, regrettent celles de leur enfance quand, les poches pleines de billes ou de Carambars, un ballon de foot sous le bras ou une poupée à la main, des rêves de futurs radieux plein la tête, ils ou elles retrouvaient les copains et les copines à l’ombre des marronniers jaunissants. En ces temps là, on ne le savait pas, on vivait dans un pays riche donc confiant dans son présent et son avenir. Et puis il y a ceux (les politiciens impuissants, incompétents, malhonnêtes à qui l’on a confié un pays prospère à l’issue de « Trente Glorieuses » et qui nous le rende ruiné au terme de « trente Piteuses ») qui planchent sur les rentrées de 2025 et après. A entendre ce qu’ils n’osent nous dire, on envie prendre un billet pour vite remonter le temps en quête de paradis perdus.
Et puis il y a ceux qui s’efforcent de vivre en 2013. Force est d’admettre que, à l’exception de ceux qui ont enduré les affres de la dernière débâcle, Monsieur et Madame Toulemonde n’ont pas connu d’annus plus horribilis. Le pire n’est pas tant que la classe moyenne, détroussée au coin du bois par les fonctionnaires de Bercy, ne perde du pouvoir d’achat. Le pire c’est que l’idéologie et les marottes du pouvoir en place sapent les valeurs de la France éternelle. Il suffit de voir le programme d’histoire que l’on impose à nos enfants ou l’angélisme du ministre de la justice qui entend vider les cachots des malfaisants qui s’y agglutinent. Sauve qui peut !
Ceux qui ne le peuvent pas – vous et moi donc – traversent un gué difficile. Dans un tel contexte, il est plus urgent que jamais de se faire plaisir, de nourrir ses passions, de s’évader. Heureusement, la famille et les amis, nos chevaux et nos chiens, nous tendent les bras. Au diable la sinistrose et vive la western attitude.
Votre magazine trimestriel NEWESTERN d’automne (numéro 26) est chez votre marchand de journaux depuis le 30 août 2013. Il souligne que tous ceux qui veulent s’initier à l’équitation western peuvent désormais faire appel à une centaine d’enseignants spécialisés. Il précise que les discipline western articulées sur le tri de bétail ont le vent en poupe. Il donne les clefs des experts pour que le cavalier débutant progresse, pour que le reiner expérimenté gagne des points, pour que le dresseur amateur fasse son profit des enseignements du horsemanship vaquero. Il vous invite à chevaucher dans les Pyrénées espagnoles. Il vous présente les nouvelles structures. Il vous conte l’actualité de la compétition. Il vous entraîne en Normandie à la rencontre des personnalités western qui se réjouissent de la tenue, chez eux, dans un an, des Jeux Equestres Mondiaux dont l’organisateur – Fabien Grobon – nous dit qu’il y a « ceux qui se féliciteront d’y être allé et ceux qui regretteront de ne pas s’y être rendu ». Bonne lecture.
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