C’est ce que demande la Fédération Française d’Equitation (FFE) au gouvernement. De fait les employé.e.s des centres équestres ont continué et continent d’assurer au quotidien les soins, l’entretien et l’activité physique des chevaux en dépit de la crise sanitaire. A ce titre, la FFE estime que ceux-ci devraient intégrer le contingent des métiers dits de la « deuxième ligne ». Ils pourraient alors bénéficier d’une prime défiscalisée, exonérée de cotisations sociales, plafonnée à 2 000 euros en 2021.

2 000 euros de prime défiscalisée à la clé

Précisons qu’en 2019 et 2020, les entreprises ont eu la possibilité de verser une prime de ce type à leurs salariés dans la limite de 1 000 euros. Cette année, le montant est porté à 2 000 euros. Ce dispositif concerne les entreprises et les branches qui auront soit conclu un accord d’intéressement avant la fin de l’année, soit ouvert une négociation des métiers dits de la « deuxième ligne ». D’où la démarche de la FFE pour que l’Etat reconnaisse le rôle essentiel des employés de la filière cheval. Reste que le versement de la prime dépend aussi du bon vouloir de l’employeur.