Jean-Luc Auger (sur la photo), Céline Touvron, Xavier Brunet, Sophie Frostin ont fait le show équestre sur une animation au micro de Simon Manceau. © Marc Bainaud

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Avec le retour de l’été, fleurissent un peu partout des festivités à thématique western. Parfois, elles sont organisées par des bonnes volontés qui ignorent les subtilités de notre univers. Parfois, elles sont orchestrées par des initiés qui aiment à partager leur passion pour la culture américaine au sein de laquelle les chevaux jouent un rôle central.
Ainsi Jean-Luc et Annick Auger organisent-ils, depuis déjà de nombreuses années, un festival biennal western et country à La Plaine (49). Bien connus pour avoir longtemps élevé des paint horses, les Auger n’ont de cesse d’oeuvrer pour le rayonnement de la western attitude.
Cette année 2018, les 16 et 17 juin, une foule nombreuse et enthousiaste a rallié ce village du Maine et Loire où un riche programme les attendait.
Des animations équestres bien sûr…
Jean-Luc, le maître des lieux, a offert une belle démonstration de travail en liberté (son violon d’Ingres, autant dire son « dada »). Au terme de cette séance, il a invité son partenaire équin à prendre un repos bien mérité dans… un fauteuil.
Xavier Brunet et Sophie Frostin ont assuré différentes animations avec le cheval Sereno (tour à tour circassien, ibérique, cow horse…) et le python Pythus.
Céline Touvron a montré l’art et la manière de déplacer, canaliser, séparer un petit troupeau de blonde d’Aquitaine.
Egalement a-t-on vu un pleasure horse, une sémillante cavalière sur un paint horse, des chevaux américains miniatures…
L’ensemble de ces prestations, commentées au micro par le Président de l’AFQH (Association Française du Quarter Horse) himself (Simon Manceau), a contribué à donner une bonne image de l’équitation western et à participer d’une nécessaire communication sur les nombreuses composantes du monde western.
Concomitamment, les « festivaliers » ont aussi apprécié de découvrir les sports canins.
Et comme toujours les line danceurs ont… dansé.
A l’évidence, et c’est la vocation de sociabilité de ce type d’initiative, qui n’existerait pas sans l’énergie, la détermination, l’implication des organisateurs et des bénévoles, les gens étaient heureux de se retrouver sur une bande son américaine.