Technique d’élevage, le perfectionnement passe par l’ESCE
ESCE comme Ecole supérieure du cheval et de l’équitation, une toute nouvelle structure née des compétences conjuguées de l’Ecole nationale d’équitation de Saumur (49), de l’Ecole nationale professionnelle des Haras au Pin (61) et d’un réseau en territoire. Elle dépend de l’Institut français du cheval et de l’équitation.
Elle s’adresse à plusieurs cibles :
– Public adulte professionnel souhaitant élargir son champ de compétences, construire ou
faire évoluer son projet professionnel ou ses pratiques (éleveurs, gérants de centre
équestre…) : conduite et gestion d’élevage, performances économiques
– Amateur souhaitant s’initier et se perfectionner à la sellerie, à la maréchalerie et à l’attelage
– Amateur confirmé souhaitant se professionnaliser : sellier-harnacheur, moniteur
d’équitation et d’attelage, inséminateur équin, chef de centre de reproduction, entraîneur et
instructeur d’équitation, cavalier préparateur de jeunes chevaux, meneur d’attelage.
– Étudiants en poursuite d’étude : formation initiale, formation en apprentissage (CAP sellier-harnacheur, DEJEPS, CS UCA).
Les intervenants de la filière de l’équitation western trouveront des cursus aptes à optimiser leurs compétences en termes d’élevage et de reproduction.
L’objectif de l’ESCE est de viser l’excellence. Comme le souligne Jean-Marc Lapierre, directeur général adjoint, si « les diplômes dans les filières sportives ont plus de 80 à 90% d’employabilité. […] Les double cursus proposés par l’IFCE donnent la possibilité d’accéder à un niveau supérieur, d’aller un cran au-dessus avec des diplômes d’État ».
Rappelons qu’en France plus de 126 500 emplois sont directement liés au cheval dont environ 43 000 en activité principale. A cela s’ajoutent les 53 000 emplois indirectement liés au cheval : vendeurs de produits équins, prestataire d’entreprise, administration et associations.
La filière équine est le premier employeur sportif dans notre pays. (Sources : annuaire ECUS)
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